Safer Internet day 2025

Mis à jour le jeudi 20 février 2025 , par FSM

Le Safer Internet Day est inscrit à l’agenda scolaire et est l’un des temps forts du dispositif Phare (Programme de lutte contre le harcèlement).
Ce rendez-vous annuel de sensibilisation aux usages du numérique est à destination des jeunes, des familles et de la communauté éducative.
Son objectif est d’encourager les comportements responsables et positifs en ligne.
La 22ème édition a démarré le mardi 11 février 2025 et se prolonge jusqu’au mois de mars.

Les élèves de la 6èmeTaubira ont élaboré des affiches de prévention avec leur professeure d’Arts Plastiques, Mme Allano.

Les écrans, pas toujours marrants.
Cette affiche nous montre que les réseaux ont des aspects positifs, comme le partage de messages d’amitié ou même d’amour, que l’on n’oserait pas dire en face. Ils permettent de renforcer des liens d’amitié et de partager des informations sur des loisirs communs.
Il faut toutefois se méfier car la parole est bien plus déliée lorsqu’on est derrière son écran. Ainsi, les situations peuvent vite chavirer en négatif, laissant la place aux messages haineux en groupe.

L’intimité ne se partage pas.
Lorsqu’on vit une histoire d’amour avec un partenaire, il est courant de s’envoyer des messages sur les réseaux sociaux. Les envois de photos et de messages doivent toutefois se faire avec le consentement des deux parties, et aucun ne doit recevoir de menaces ou des insultes s’il ne fait pas ce que l’autre partenaire lui demande. Les deux parties doivent aussi protéger mutuellement leur intimité s’il y a eu partage d’information ou d’images sensibles, même après la rupture de la relation.

Réel ou virtuel, le harcèlement tue.
Les situations de cyberharcèlement sont autant, voire plus, délétères que les situations réelles. L’isolement vécu par la personne harcelée, ainsi que l’amplification des messages reçus car partagés par toute une communauté, peuvent précipiter la victime dans une profonde détresse. Des cas de suicides d’adolescents sont à déplorer dans de telles situations.

Que l’on soit témoin ou victime, tous concernés par le cyberharcèlement.
Les écrans constituent un filtre derrière lequel on peut se cacher, lancer des attaques que l’on ne serait pas capables de faire dans une situation du monde réel. Il peut aussi arriver que l’on soit témoin de cyberharcèlement en recevant par exemple un message malveillant ciblant une personne particulière et transféré à toute une communauté.
Il est alors de notre devoir de signaler cette situation même si l’on est pas directement impliqué.


Ces affiches sont exposées dans le hall du collège, avec diverses informations officielles à destination de tous.

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